Kenneth Hewingston

_Nom : Hewingston
_Prénom : Kenneth
~ Surnom : Kenny
_Âge : 19 ans
~ Date de naissance : Vendredi 13 Octobre 1989
_Sexe : Masculin
~ Groupe Sanguin : AB -
_Nationalité : Américain, d’origine anglaise.

~ Langue(s) parlée(s) : Anglais et baragouine l’Espagnol.
~ Clan : Aucun
~ Emploi : Aucun
~ Maladie(s) : Il est asthmatique mais pas au point de devoir prendre de la Ventoline de manière régulière. Il ne doit en prendre qu’en cas de crise.



_Nom de Code : Shark
_Description du pouvoir :

~ Contrôle des liquides = Ce pouvoir permet de contrôler les liquides jusqu’à en faire, pour le personne qui possède ce don, un élément solide sans qu’il perdre ses propriété malléable. Cela demande concentration et imagination car c’est l’esprit qui modèlera le liquide et qui déterminera la résistance de l’objet modeler. Plus le liquide est dense, plus il est facile à solidifier mais il est aussi plus difficile à modeler. Il est donc possible d’en faire une arme ou une protection. Le contrôle se fait par l’esprit mais la plupart des personnes possédant ce don s’aide de leur main pour la manipulation à distance, qui reste plus dur que lorsqu’il y a contact direct.

_Force(s) :

La manipulation peut se faire sur n’importe quel liquide de l’eau jusqu’à sang. Les possibilités de forme est aussi grande que l’esprit du mutant peut en imaginer. La solidité est également au bon vouloir du possesseur, il peut donc être aussi solide que le roc et/ou aussi tranchant que la plus fine des lames. Cela peut également permet de faire de l’eau un appui aussi sur que le sol ou encore, en augmentant la pression, de pouvoir respirer sous l’eau en se servant des molécules de dioxygène présente dans le liquide. Il est possible aussi d’arrête l’écoulement d’un liquide, par exemple le sang d’une plaie mais ca ne permet pas de la soigner pour autant, la blessure restant.

_Faiblesse(s) :

Il ne peut créer le liquide. Il doit prendre dans ce qui se trouve dans l’environnement. Produire un liquide dense à partir d’une simple concentration d’humidité dans l’air est impossible, il faut vraiment avoir le liquide sous sa forme... liquide justement. Pour les arrêts d’écoulement de sang, pour une plaie par exemple, cela ne permet pas de soigner la blessure, seulement d’empêche le sang de couler, ce qui peut malgré tout faire la différence entre vie et mort, mais des soins devront être appliqué malgré tout. Une concentration attentive est demander et plus la surface manipulé est grande, plus la concentration demandé l’est aussi. L’utilisation trop importante de ce don peut amener à des évanouissements.

~ Le pouvoir qu'il aurait voulu posséder : Celui de contrôler le temps.



_Description physique :

Kenneth est de taille moyenne, ni trop grand, ni trop petit. De constitution plutôt faible, il n’est pas vraiment taillé pour la boxe mais il n’est pas rachitique non plus et a une petite masse musculaire qui lui permette de ne pas rechigner de retirer le haut en été. Il n’a pas plus de force qu’un autre mais encaisse plutôt bien les coups. En revanche, étant plutôt pale de couleur de peau, il a tendance à marquer très facilement mais dans une optique très temporaire et il garde très rarement les cicatrices physique de ses brimades.

Pour ce qui est de l’apparence, Kenneth est un jeune homme plutôt agréable à regarder. Le visage fin, les traits masculin et malgré le fait qu’un sourire étire rarement ses levres, nombreuse sont ceelles qui lui trouve un certain charme. Une paire d’yeux bleu foncé qui n’est pas sans rappeler la teinte de nos iris à la naissance, d’ordinaire très expressif presque trop, il ne traduise que très rarement ce qu’il ressent vraiment.
Son visage est encadré par des cheveux blonds qui ont très légèrement tendance à tirer vers le roux. Souvent coiffé en bataille, si tant est que l’on puisse qualifier ça de coiffer, ses conquêtes avait souvent tendance à lui dire que ca lui donnait un air « sauvage » et un peu rebelle. Il n’a qu’une seule habitude, même si ce n’est pas systématique, pour se coiffer : celle de laisser tomber une meche plus longue sur son visage cachant son œil aveugle. Mais c’est d’avantage parce qu’il ne s’en rend pas compte qu’il la laisse ainsi.

_Manière de s'habiller :

Kenneth adopte un style plutôt banal. Sa garde de robe étant constituée majoritairement de noir, de gris ou encore de bleu foncé, le tout restant dans des teintes sombre. Il lui arrive de porter de l’orange ou du rouge, ainsi que du blanc mais toujours en accord avec les trois teintes premièrement citées.
Des vêtements plus ample que près du corps, il n’aime pas se sentir à l’étroit dans ses vêtements ou bloqué dans ses mouvements. Privilégiant le jean aux autres pantalons, surtout dans un aspect pratique, il lui arrivera néanmoins de mettre des pantalons plus légers. Pour ce qui est des hauts, le duo t-shirt et sweat à capuche sera toujours de mise.
Pour la petite info, il est plus boxer que caleçon.

~ Objet Fétiche : Sa capuche. Quelques soit le sweat qu’il porte, il y a systématiquement une capuche sur celui-ci et elle se retrouve irrémédiablement sur sa tête qu’il pleuve ou qu’il fasse soleil.
~ Nombre de piercings : Il n’a pas de piercing.
~ Tatouages : Il a un tatouage derrière l’oreille, un petit trèfle à quatre feuilles qu’il s’est fait tatouer à ses 18 ans.



_Description psychologique :

Kenneth est quelqu'un au caractère plutôt adaptatif. Il pourra être aussi bien méchant que gentil, autant honnête qu'il pourra se montrer hypocrite, tout dépendra de la personne qu'il a en face de lui et de la situation dans laquelle il se trouve. Malgré tout, peut importe les circonstances, Kenneth reste quelqu'un qui a, ce que l'on appelle vulgairement, une grande gueule. Il est également quelqu’un de très changeant. Du jour au lendemain voir d’une minutes à l’autre, il pourra changer complètement de comportement vis-à-vis d’une même personne.

Lunatique ou tout simplement humain, il a comme tout le monde plusieurs facettes. Trahis depuis toujours et pas des manières les plus jolies qui soit, il ne fais plus confiance qu'a lui-même partant du principe simple et connus que c'est la nature de l'Homme que de trahir sont prochain. Assez matérialiste, il aime ce qu'il a et il n'est pas rare qu'il envie ce qu'on les autres. Mais pour ce dernier détail, il peut aussi bien s'agir d'un bien matériel que de quelque chose de plus abstrait.

Complètement désillusionné, il considère que l'amour n'existe pas. Ce n'est pour lui qu'une réaction chimique du cerveau dont les effets peuvent se ressentir en mangeant deux tablettes de chocolat (en oubliant les maux d'estomac). Le désir physique est une chose réelle dont il ne nie pas l'existence, bien au contraire. A la limite, il croit un peu à la passion mais celui lui, rien ne dure en ce monde, tout est destiné à disparaitre. Les sentiments n'échappent pas à cette règle. Le sexe à ses yeux n'a guère plus de valeur qu'une poignée de main. Il aime d'ailleurs la luxure et ne s'en cache pas le moins du monde. Coucher pour de l'argent ne lui a jamais posé de problème même s'il ne compte pas en faire son métier, il n'a donc pas un sens de la morale très prononcé.

~ Alcool : Kenneth tiens très bien l’alcool, il a une grande préférence pour les liqueurs mais son alcool favoris reste la vodka.
~ Drogues et cigarettes : Aucune drogue mais par contre, il lui arrive de fumer, après l’amour ou quand il a besoin de se calmer.
~ Chiffre chanceux : Le 8 mais il ne se l’explique pas.
~ Couleur préférée : Le noir n’étant pas une couleur, il aime l’orange aussi.
~ Saison détestée : Surement le printemps. Il est allergique aux fleurs.
~ Hobbies : Il aime regarder le ciel, écouter de la musique et le calme (mais surtout pas le silence).
~ Goûts Musicaux : Il est assez éclectique même si il nage dans un style plutôt pop-rock internationale la majorité du temps.
~ Goûts Culinaires : Il est plus salé que sucré, plus acide qu’amer. Son fruit préféré est le citron et les choses qu’il aime le moins mangé sont les poivrons et tout ce qui est ail, oignons, échalote et ce genre de chose.

_Relations avec les autres :

Joueur, Kenneth s’amuserais avec autrui avec ruse et intelligence. Selon lui, il ne fait que rendre service en montrant le monde, dur et cruel, tel qu’il est aux esprit encore candide et remplis d’espoir à propos du genre humaine. Selon lui, les personnes qui croient encore que l’on peut faire confiance sont des sots. Il ne voit les autres que comme des jouets, des tremplins pour avancer dans la vie ou encore des aventures d’un soir. Il est donc inutile de préciser qu’il n’a pas la moindre estime des autres. Il ne fera jamais rien qui ne lui apportera rien. S’il vous sourit, c’est qu’il a besoin de vous, sinon, ce n’est même pas la peine d’attendre un regard ou une réponse de sa part.

Certains psychologues, avec tout leurs beaux diplômes, clame qu’au fond de lui, il recherche quelqu’un qui sera digne de sa confiance, une personne qui le comprendra et qui le guérira de ses blessures du passé, une personne qui lui ferra voir que l’amour n’est pas une chimère. Sans la moindre retenue, il a rit au nez de tout ses charlatans avant de leur déclarer, du ton catégorique et assuré, que cette personne n’existait pas. Il ne s’était jamais leurrer sur ce point, ce serait comme croire au père Noel ou à la petite souris.

~ Nombres de relations amoureuses sérieuses : Une seule qui est était réellement sérieuse de son côté. Pour le reste, c’est à peine s’il se souvient de leur prénom ou de leur visage.



~ Comment avez-vous découvert le forum ? C’est une excellente question... Je crois que c’est sur un top-site. [ Edit = Je viens de me souvenir ! C'est en votant pour Ogata xP Ce forum est juste au dessus de mon forum xD ]
~ Ce qui vous a attiré ? Le design, le nombre raisonnable de membre (j’hésite toujours à m’inscrire sur les forums trop peuplés) et l’histoire.
~ Commentaire(s) : J’ai mis trois jours avant de me décider ente les 4 fiches que j’avais faites xD

Crédits images (avatar et signature) = (c) Yami-shin

La vie de Kenny pourrait se résumé de manière très simple selon ce dernier : il est né, a grandit et, un jour surement, il mourra. Mais il faut bien avouer que cela manque cruellement de détail.

C’est en Angleterre, sur les terres brumeuse d’une campagne côtière que Kenneth vit le jour. Pourquoi l’Angleterre alors que ces parents sont américains tout les deux ? Tout simplement par ce que le garnement est ce qu’on appelle communément un prématuré. Il faut bien avouer qu’avoir le cordon ombilicale autour du cou vous invite à quitter le navire pour ainsi dire. C’est donc avec deux mois d’avance et à plusieurs heure de son pays qu’il vit le jour. Il fallait bien avouer que ses parents n’avait pas du tout prévu ce « petit », il faut bien dire qu’il n’était pas grand, imprévu.

N’ayant aucune raison de rester en Angleterre où ils n’étaient allé que pour passer de petites vacances, les parents de Kenneth revirent avec un petit paquet de plus chez eux. Le petit paquet en question grandit le plus sainement du monde. Un soir, alors que le jeune garçon n’était âgé que de 2 ans, son père sortit pour aller acheter un paquet de cigarette, si loin qu’il n’en revint jamais. La mère n’avait que des revenus limités, la vie devint alors plus difficile pour elle et son fils. Ils déménagèrent pour un appartement plus petit qui se trouvait à proximité de la futur école de Kenneth.

Et c’est donc à l’age de 3 ans qu’il intégra les petites classes comme tout ses petits camarades. Ces jeunes année ne furent pas jalonnées de joyeux souvenirs sucré pour le petit Kenny... Enfin, si. Lorsque de la petite fille, trop boutonneuse pour son jeune age, lui collait son chewing gum dans les cheveux ou encore lorsque les autres garçon tentait de faire de lui de la barbe à papa humaine en lui mettant la tête dans la machine, dans ces cas là, ses souvenirs l’étaient même un peu trop, sucré. Il vit la vie en rose, dans un sens bien trop littérale à son goût. Les brimades qui subissaient s’expliquait simplement par le fait que ses vêtements semblais vieux et usé, sa mère ne pouvant lui en acheter aussi souvent qu’elle le voudrait, et aussi car, lui, il ne pouvait pas amener son père quand les copains l’embêtaient.
Il n’était pourtant pas de ceux qui se laissait faire sans rien dire, il n’avais d’ailleurs pas vraiment la langue dans sa poche. Il savait parler et ne se gênait pas pour le faire, c’est peut-être aussi pour cette raison qu’il se fit plus d’ennemis que d’amis. Il en avait malgré tout quelques uns, mais pas assez courageux pour faire front quand on arrivait pour lui faire des vacheries. Qui leur en aurait voulu ? A trois contre quinze qui font presque une tête de plus qu’eux. Le tableau n’avait rien de bien engageant.

Il poursuivit donc sa scolarité, avec l’étiquette de bâtard et de tête de turc accroché aussi bien dans le dos qu’au milieu de son front. Parfois, il avait un bras dans le plâtre, d’autre fois, c’était le pied. Ça lui appris au moins à supporter la douleur, à force d’habitude. Parfois, ces camarades avaient la délicatesse de lui offrir simplement de tester la chasse d’eau des toilettes. Kenneth pouvait au moins être sûr d’une chose : il les avait toute testé. Malgré tout, un incident plus grave arriva pendant sa dernière année de primaire qui se solda par un clou juste dans la commissure de son œil droit. Le clou fut retiré sans le moindre soucis mais une infection gagna le nerf optique et la réticences du garçon à avertir sa mère de la perte progressive de la vue sur cet œil combiné au traitement tardif de l’infection se conclu par la cécité de cet œil malgré qu’il semble intacte. Peu de personne savent qu’il ne voit plus de cet œil. A coté de tout ça, sans être exceptionnel, le jeune garçon obtenait de bon résultat scolaire.

Il entra sans mal au collège. Ce fut pendant ses années collégiennes qu’il fit la connaissance de Lola. Ah, belle Lola, madone du collège, le fantasme incarné de tout les garçon. Et pourtant, ce fut Kenneth qu’elle choisit. Lorsqu’elle lui proposa de sortir avec lui, il cru à une plaisanterie mais quand elle lui redemanda le plus sérieusement du monde, il dû s’asseoir. Pour une fois, la première fois dans sa vie, la chance semblait lui sourire. Kenneth était se que l’on pourrait qualifier du petit ami idéal. Il était galant, tout plein d’attention, quand il passait à coté d’un fleuriste, il achetait une rose pour elle. Ce petit bonheur dura, sur 2 mois entier. Ils avaient l’age qu’il avaient, et un soir, elle lui proposa de la raccompagner à l’intérieur, un soir où ses parents étaient absents. Ce qui devait arriver arriva. Ce fut à ce moment que les choses basculèrent.
Ce fut sans le moindre doute la plus horrible des brimades qu’ils avaient pu imaginer. Le lendemain, la vidéo de ses exploits circulaient dans le lycée. Tout, de la proposition de Lola à la nuit de la veille sans compter les deux mois avaient été une mise en scène. Les deux mois de rêves n’avaient été que ça, un rêve.

Cet événement marqua la fin de la confiance que Kenneth avait en l’être humain. Il devint ce qu’il est aujourd’hui. Quelqu’un de calculateur, d’intéressé et de majoritairement indifférent à ce qui pourrait se passer autour de lui. La semaine qui suivis la trahison, le journal intime de Lola fut lancer à plusieurs centaines exemplaire du toit de l’école. Bien évidement, il n’y avait aucun moyen de relié Kenneth à cet événement. Comment aurait-il pu faire autant de photocopie, lui qui était si pauvre. Les brimades furent de plus en plus rare, les représailles et la vengeance fut un plat que bon nombre d’anciens camarade de Kenneth goutèrent, très froid pour certains.

Usant de tout les moyens qu’il pouvait, Kenneth commença à travailler en parallèle de ses études. Un petit boulot par ci, un autre par là. La plupart du temps, il ne faisait qu’acte de présence, c’était pour la plupart des promotions canapé pour ainsi dire. Deux mois avant sa majorité, il se trouva un appartement et y emménagea avec le peu d’affaire qu’il possédait. Ce fut à cet époque qu’il découvrit qu’il était différent, bien plus que ne l’avait cru ses camarades. Il faut croire qu’il ne fut pas le seul à s’en rendre compte, car un matin, après s’être endormit chez quelqu’un d’autre, comme ça lui arrivait souvent, il se réveilla dans un endroit bien plus étrange que le monde dans lequel il s’était endormis.

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