Histoire
- 3 novembre 1967, Chicago. –- Il est en santé ?
Le docteur s’avança l’air abattu par ce qu’il venait de voir, celui-ci tenait un jolie petit bébé dans ses bras. Il dormait profondément, pas comme tout à l’heure où il pleurait… Un moment passa puis le docteur ouvrit la bouche.
- Oui mademoiselle. Seulement… Avez-vous des pathologies quelqu’onque dans votre famille ?
La jeune femme aux cheveux blonds croisa les bras, l’air songeuse… Ses yeux se fermèrent comme si elle réfléchissait. Elle attendit un certain moment avant de répondre puis elle se lança.
- Oui… Il y a eu quelques cas de psychoses et un ou deux de schizophrénies. Mais je ne vois en aucun cas le rapport entre la santé de mon enfant et ces cas.
- Malheureusement ma petite dame, si… Enfin bref, je vais vous prescrire un Antibiotique pour votre enfant, vous devrez lui administrer un fois par semaine.
La jeune femme fronça les sourcils.
- Un antibiotique pour un enfant si jeune!? Me prenez vous pour une tarte docteur ? Je vous préviens, si cela fait du mal à mon enfant, se n’est pas en cours que je vous trainerai. Mais bien dans le fond de la rivière.
Le docteur décontenancé par ce que la jeune femme venait de lui dire s’approcha et lui tendis son enfant puis un petit papier de prescription, sans un mot elle les prit. Le docteur en s’éloignant ramassa son bloc note près de la porte et sortis. Une fois dehors, il prit un marqueur orange et tourna la page, une série de nom d’enfant y était écrit il barra le nom Laharl Fox de son crayon ainsi que deux autres noms, la feuille était bariolé à plusieurs endroit et plusieurs nom d’enfant était barré. Le docteur avançait sans réellement regardé où il allait, le nez dans son bloc note il ne vit pas arriver le colosse devant lui. Puis il y eu impacte. Le docteur fut projeté au sol. Le grand homme vêtu d’une veste noir était accompagné de deux gars qui semblaient encore plus malhonnête. Le docteur d’une voix nerveuse murmura ce qui semblait être des excuses plutôt pas claires.
- Allons mon bon monsieur. Ne vous en faites pas. Vous m’avez à peine dérangé.
L’homme continua son chemin, il jeta un regard à ses deux monstres.
- Les gars, vous attendez quoi pour aider notre ami à se lever.
Les deux gars se regardèrent en souriant, l’un d’eux empoigna ses jambes, l’autre le haut du corps et ensemble ils l’emmenèrent dans un endroit isolé…
L’homme au veston entra dans la chambre 51, celle de la jeune femme. En entrant il lui sourit et il s’approcha pour l’embrasser. Ils s’échangèrent un doux baiser et l’homme se recula d’un pas pour voir son enfant. Son regard devint tout d’un coup doux et indulgent.
- Qu’il est beau, un ange.
- Il te ressemble chéri.
L’homme eut un sourire en coin.
- C’est d’ailleurs pourquoi il est si beau… Il semble en santé, c’est l’important après tout.
On cogna à la porte. 3 coups puissants. L’homme s’approcha et l’ouvrit rapidement. Ses deux gaillards se tenaient là l’air ravi. Il leur glissa un papier et se tourna vers sa femme qui était dans le lit.
- Mon amour ? Alfred et Jack sont venue veiller sur toi, le Docteur a dit que je pouvais partir avec le bébé, je suis convaincue qu’il a hâte de voir sa nouvelle maison.
L’homme lui sourit de façon très sincère. Elle lui rendit son sourire. Il s’approcha et la jeune femme lui tendit l’enfant toujours endormi. Sans un mot, il prit l’enfant dans ses bras et s’éloigna en direction de la porte, une fois que son regard eut croisé celui de ses deux acolytes, il leur fit un signe de tête plus que significatif. À peine la porte fut passé et fermé que des coup de feux se firent entendre. Deux coups de feu. Aucun cri ne les suivit. La main de la femme s’ouvris, laissant tombé sur le planché la note du docteur… Tout le monde savait se qui venait de se passer… Mais qui oserait parler contre le Baron Fox… ? Personne. Du moins plus personne.
- Elle ne nous causera plus jamais de problème mon beau petit bonhomme.
Il lui sourit…
- 18 Décembre 1988 – - You better get the fuck out of here, Homeboy.
Le jeune homme resta de glace à cette remarque. Il serra les poings et le regarda dans les yeux.
- Tu sais comme moi parlé français Émilio, alors quand tu t’adresse à moi je te conseil d’être plus respectueux et de ce fait, en français. Tu ne voudrais tout de même pas que j’en parle à mon père ? N’est-ce pas?
Les yeux d’Émilio devinrent rond, puis un sourire moqueur apparu.
- Tu me cherche vraiment hein ? Pourtant Émilio tu sais aussi bien que moi que je pourrais te tuer sans problème.
Fox le frappa violement dans le ventre, Émilio plia en deux sous le choc de l’impact. À genoux au sol il cracha quelques goûtes de sang…
- Héhé… Argh… Ton problème mon pauvre fox, c’est que tu va vivre dans l’ombre de ton père pour toujours… Aarggh… Au fond, tes qu’un perdant. Tu vaux pas plus qu’un de tes pions qui te suis partout… D’ailleurs, depuis le temps que tes dans l’organisation, ton vieux te laisse toujours pas sortir seul. Belle preuve de confiance sa… Hein ?
Fox fit mine de rien. Comme à son habitude… Mais le pire c’est que cette enflure avait raison. Il le savait très bien, mais il avait son plan… Cet enculé n’allait bientôt plus contrôler sa vie. Laharl était beau, jeune et ambitieux, tandis que le vieux lui ne prenait même plus de risque… Trop conservateur. C’est exactement le genre de chose qui nous coutera Chicago… Espèce de vieux sénile…
- Et puis merde j’en ai assez de toi, on se reverra en enfer. Asta la vista, Asshole.
Il pointa son révolver puis…
- Non..
BANG ! Le coup étais partie. Le sourire aux lèvres, il sortit du magasin, finissant sa cigarette il en prit une dernière bouffé puis la jeta au sol. Se tournant vers les pions qui l’attendaient, il leur dit.
- Émilio à démissionné. Aller faire le ménage la dedans, vous viendrez me rejoindre chez mon père.
Les deux hommes acquiescèrent d’un signe de tête et ils entrèrent ensemble dans le petit magasin de pâtisseries. Fox entra dans son auto, le cœur lui débattait encore… C’était la deuxième fois qu’il tuait quelqu’un… et à toute les fois la charge d’adrénaline était énorme… Il mit le contacte et s’engagea sur la route pour aller voir son père.
- 25 décembre 1988 – -Joyeux Noël mon fils !
-Joyeux Noël papa…
Les deux hommes se prirent dans leurs bras. Laharl murmura à son père.
- Je dois te parler… De choses importantes.
Le père s’éloigna d’un pas et regarda son fils avec un regard sévère.
-Je t’ai déjà dit que les affaires sont les affaires que ce genre de chose n’avait pas sa place dans nos fêtes. Je comprends tes envies et …
- NON ! Tu ne comprends absolument rien ! Tu n’es qu’un espèce d’ivrogne imbécile qui ne suis même pas ses propres règles, tu nous dit que nous entre-tuer brise la confiance et que nous formons une famille mais pas plus tard qu’avant-hier tu a tué Jack. Un homme qui te suis depuis ma naissance. Tu es devenu complètement sénile et j’en ai assez de toi.
-Haha , et tu crois que mes hommes vont te laisser faire ? Tu n’es qu’un jeune sot sans expérience pour qu’elle raison te suivrait t-il ? Ne me fait pas rire avec les notions d’honneur ! Tu ne sais même pas se qu’est l’honneur ! Moi qui croyais avoir élevé un fils, non pas un traitre ! Retourne chez toi avant que je ne décide de t’éliminer de mes mains.
-Vieux fou. Vas-y tue-moi. Ce seras moindre comparé à l’humiliation que tu me fais subir depuis des années !
Le vieil homme sorti sont révolver avec une vitesse incroyable, 3 coups de feu s’envolèrent sans que personne ne s’en doute.
Fox eut à peine le temps de mettre ses mains devant lui… Puis plus rien, Laharl n’avait aucune égratignure. Le vieil homme ne savait plus quoi faire, Laharl non plus d’ailleurs. Les deux hommes se regardaient dans les yeux.
- Tu m’aurais réellement tué ?
Lui dit Laharl. Ce moment brisa son semblant de concentration… Les balles qui avait été dématérialisées à son insu furent re-projeté mais par chance dans la direction opposé. Le vieil homme s’écroula au plancher. Fox ne savait plus quoi faire… Son père mort, les autres ne tarderait pas à se débarrassé de lui… Il devait fuir, fuir loin. Il sorti par la fenêtre, entra dans son auto et se rendit le plus loin qu’il pouvait. Il se loua une chambre d’hôtel et y passa 3 semaines… 3 longues et pénible semaines. On cogna à sa porte.
• Merde… On m’aurait retrouvé… Non, impossible… *
Fox mit la serrure en chaine et entre-ouvrit la porte. Deux hommes armés pointaient deux révolvers sur lui.
- Monsieur Fox ?
Laharl mit quelques secondes à répondre…
- Oui..
- Bien, vous êtes en état d’arrestation. Veuillez obtempérer s’il vous plait.
- Enter, you son of a bitch…
Les deux hommes entrèrent avec le sourire, ils marchaient tout les deux d’une façon étrange… Comme si quelque chose d’extrêmement dangereux se trouvait dans la pièce.
- Nous savons.
- Non, vous pensez savoir, je n’ai pas tiré sur mon père.
Les deux hommes se regardèrent et échangèrent le même regard.
- Nous savons cela aussi. Monsieur Fox. Vous n’avez pas voulue tuer votre père. Mais vous l’avez fait. Et de ce fait vous avez utilisez votre pouvoir…
- Quoi ? Vous avez pris du crack ou quoi ? Le seul pouvoir que j’ai c’est celui de vous foutre dehors si vous n’avez pas de raison de m’arrêter.
- Hum, dit le plus petit des deux agents, je ne crois pas. Monsieur Fox. Vous avez le pouvoir de dématérialisé des objets. Et avant que vous ne puissiez l’utilisé correctement, nous sommes ici pour vous éliminé…
- Vous… Allez me tuez ?
- Ah ah ah ah ! Non, ne vous en faite pas.
Le plus petit des deux agents sorti sont révolver et tira un coup dans le cou de Laharl, c’était une flèche tranquillisante. Deux secondes plus tard, il était dans les vapes.
- 17 Août 2008 - Laharl Fox a appris avec le temps à contrôler son pouvoir, il a appris à contrôler ses émotions. Et il a surtout appris à contrôler les autres. Il est maintenant le Chef de l’un des clans le plus puissant de tout The Else world et il espère bien continuez le travail de son père. Ailleurs.
[*] Hors jeuComment avez-vous découvert le forum ? Une amie, qui d’ailleurs ne m’as pas dit son nom de RP o_Ô Va va me reconnaître. En tka est mieux .
Ce qui vous a attiré ? Le graphisme et l’histoire en générale.
Commentaire(s) : I’m a dinosaur. Rawr.
PS: Désolé pour le Double post, mais c'était trop long pour le poster d'un coup.