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 Murphy Harkness

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Murphy Harkness
Croupier(ère) au Golden Palace
Murphy Harkness


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MessageSujet: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyDim 18 Mai - 11:07

free music

Information Personnelle


    Nom : Harkness
    Prénom : Murphy

    Âge : 32 ans
    Date de naissance : 25 octobre 1975
    Groupe Sanguin : A+
    Sexe : Féminin
    Nationalité : Anglaise
    Langue(s) parlée(s) : Anglais & Français

    Clan : Autres
    Emploi: Croupière au Golden Palace

    Voix : Ma voix ? Que dire sur elle ? C'est un peu difficile de la décrire. Après tout, on ne s'entend généralement pas parler. En fait, si, mais le son que l'on entend n'est pas réellement celui de notre voix. Par contre, une fois enregistré, on réalise ce qu'elle est. Dans mon cas, je sais qu'elle est un peu nasillarde. Ce n'est pas très beau, mais ça me va. Elle est aussi un peu aigue, mais pas aigue de manière à faire grincer des dents. Disons simplement qu'on ne fait pas erreur. Quand on entend ma voix, on sait que je suis une fille, mais comme elle est douce, le tout semble s'équilibrer.
    Parfum : Un léger parfum fruité
    Objet Fétiche : Une montre de poche ayant appartenu à mon père.
    Chiffre chanceux : 3
    Alcool : Un verre de temps en temps, mais je ne finis jamais soûle en train de vomir mes tripes.
    Drogues et cigarettes : Non, mais il m'arrive de fumer si je suis vraiment nerveuse.
    Couleur préférée : Le rose
    Saison détestée : L'été
    Le pouvoir qu'elle aurait voulu posséder : Va savoir ?
    Ne s'ennuie pas de : L'école
    Hobbie(s) : Ça dépend des jours
    Maladie(s) : Aucune



Extérieurment

    Description physique : Se décrire, ce n'est jamais facile. On n'arrive jamais à être parfaitement objectif. On se trouve plus laid que ce que l'on est ou alors plus beau que ce à quoi l'on ressemble. Alors, il ne faut sans doute jamais prendre au pied de la lettre ce qu'une personne nous dit. Si elle dit qu'elle ressemble à Angelina Jolie, elle ressemblera à une vieille momie. S'il dit ressembler à Elvis Presley, du temps de sa jeunesse, il ressemblera à votre oncle Roger, celui qui porte une perruque et qui croit que ça ne parait pas. Oui, celui-là. Je sais, je sais, je suis méchante un peu, mais bon. Pour me faire pardonner, je vais essayer d'être la plus objective dans ma propre description. J'ai bien dit essayer.

    Par où commencer ? Suis-je belle ? Voilà une bonne question, mais je ne vais pas répondre. Je sais que je n'arriverais pas à être objective. Après tout, la beauté est une chose très particulière. Une personne peut me trouver belle et une autre, pas vraiment, alors je ne sais rien dire. Je vais plutôt me décrire, tout simplement. Que remarque-t-on quand on me rencontre pour la première fois ? J'hésite encore à répondre. C'est con, mais il y a deux choses qui frappent les gens, mais je ne sais pas ce qui fait plus d'effet. Mes cheveux ou ma peau ? Parce que, je dois l'avouer, j'ai une chevelure bien particulière. Elle est très longues, elle m'arrive plus bas que mes fesses, elle est ondulé et roses. Non, la couleur n’a rien de naturel. En fait, je suis une simple brunettes, mais depuis que je suis arrivé ici, je me teins en rose. J'adore cette couleur, alors je ne me suis pas gêné. Pour la longueur. Je ne sais pas. J'ai juste eut envie de les faire pousser. Peut-être que je vais me les faire couper à un moment, mais ce n’est pas à mon agenda. Je sais que je vais le faire sur un coup de tête. Je vais prendre un couteau et hop ! Je suis cinglée ? Et alors? Et pourquoi je parlais de ma peau ? Disons qu'elle aussi à une couleur bien particulière, mais là, ce n’est pas de ma faute. Elle est pratiquement blanche, mais ce n’est pas parce que j'ai une maladie ou parce que je ne passe pas de temps au soleil. Bon, ici c'est pire, mais même quand j'étais jeune, j'avais une couleur de peu très ressemblante à celle que j'ai en ce moment. Quoi qu'il en soit, ça ne m'a jamais vraiment dérangé. Et puis, le premier qui me dit quoi que ce soit à propos, je vais lui faire un tour de la ville avec lui et lui montrer qu'il y a des personnes pires que moi. Le gêne X, il ne fait pas toujours de jolies résultats.

    Sinon, que puis-je ajouter ? Pas mal de choses, je n'en doute pas. J'ai un visage très fin et qui semble très délicat. J'ai un petit menton et mon nez est relativement assez discret. Quoi que vu ce qu'il y a autour de lui, normal qu'il soit discret. Même si je porterais un nez de clown, il y aurait peu de personne qui y porterait attention. J'ai de jolies lèvres pulpeuses, mais comme je les mets tout le temps en noir, les gens n’ont pas toujours envie de les embrasser. Ils ont peur de recevoir un baiser de la mort. Foutaise. Je suis humaine, simplement humaine. J'ai rien n’à faire ici. J'ai de grands yeux noisettes et mes longs cils noirs et mes fins sourcils ne font que donner encore plus d'importance à cette région de mon visage. Mon visage... Il est bien particulier. Tiens, ça me fait penser que l’on ne parle jamais de nos oreilles. Qui prend réellement le temps de les décrire ? Personne, puisque tout le monde s’en moque.

    Avant que je ne raconte encore n’importe quoi, quittons ma tête pour passer à mon corps. Ah, mon corps. Par où commencer ? Je ne sais pas. Vous n’avez pas une préférence ? D’accord, je m’y mets. Grâce à ma manière de m’habiller, peu de gens remarque que j’ai une taille assez fine. Par contre, mes clavicules et mes mains donnent un bon indice sur le fait que je suis un peu squelettique. Je devrais manger plus ? Je manque déjà pas mal. Je crois simplement que c’est un gêne que j’ai hérité de mon père. Ou peut-être que c’est cela mon pouvoir. M’empiffrer sans jamais prendre une seule livre. N’importe quoi. Sinon, j’ai tout de même de bonnes hanches, mais pas au point d’avoir une culotte de cheval quand même. J’ai de petites fesses qui semblent s’harmoniser parfaitement à ma poitrine. Quand même, vous pensiez quoi ? Que j’avais fait la couverture de Playboy avant d’arriver ici ? The Else World appelle la terre ! Je peux aussi ajouter que j’ai de grandes jambes et de grands bras, mais c’est peut-être pour faire en sorte que je n’ai pas trop l’air étrange. Vous imaginer de petites jambes et de petits bras sur une personne mesurant un mètre quatre-vingt ? Vraiment, bizarre. Pour ce qui est de mes pieds, n’en parlons pas, s’il vous plaît. Des pieds, c’est relativement assez laid.

    J’ai été assez objective ? Si ne n’est pas le cas, allez-vous faire foutre.


    Manière de s'habiller : On va mettre le choses au claire. Ça ne date pas d'hier. Je me suis toujours mal habillé et je le sais, alors inutile de me le dire. Je n’y peux rien, c’est de famille. Alors, ça vaut encore la peine d'en parler ? Parce que moi, franchement, je n'en vois pas l'intérêt. C'est vraiment important ? Bon, ça va, je vais faire un effort. Je suis en quelque sorte mademoiselle superposition. Je suis toujours en train de tout superposer, alors ce n'est pas étonnant de me voir avec plusieurs hauts, deux ceintures, deux paires de chaussettes. Pourquoi je fais cela ? Une simple question de style. Non, en fait, je l'ignore. Je crois que je fais cela, simplement parce que j'en ai envie. C'est con ? Je sais, mais je n'ai jamais dit non plus que j'étais tout ce qu'il y avait de plus raisonnable comme fille. Sinon, je porte un peu n'importe quoi, allant des petits pois, aux lignes que j'affectionne tout particulièrement, en passant par les t-shirts avec des personnages dessus. J'aime bien aussi porter des jeans. Comme cela, j'ai sans doute l'air d'un garçon manqué, mais porter une petite robe ici, c'est comme se rouler dans une tonne de steak et traverser un enclos de lions affamés. N'espèrent pas en sortir vivant. Mais comme j’adore les souliers, je porte des souliers de filles. Sinon, j’adore porter une horrible veste de cuir brune qui ressemble à celle des présentateurs dans les cirques. Elle est laide, mais je l’adore.

    Nombre de piercings : Aucun. Aussi étrange que cela puisse paraître ou peut-être simplement parce que je n'ai pas eu de mère pour m'amener voir une madame pour me percer les oreilles, je n'ai pas de piercings.

    Tatouages : Non, ce n'est pas pour moi les tatouages. Il y a bien des personnes qui aiment cela, mais pas moi. En fait, j'aime bien les voir, mais sur d'autres personnes que sur mon corps.


Dernière édition par Murphy Harkness le Mar 26 Aoû - 8:07, édité 44 fois
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyMar 3 Juin - 11:21

Intérieurement

    Description phychologique :Que puis-je dire à ce niveau ? Je ne sais pas. Oui, je sais, on dirait que je ne sais rien, mais comprenez moi. Ce n'est pas facile de se décrire. On ne sait jamais quoi mettre. On n'a peur d'oublier des détails, que les gens nous jugent mal. On n'a peur de dire telle ou telle choses sur nous. On n'a peur d'inventer des choses. Alors, au lieu de vous en prendre à moi, je vous dirais de tente de faire le même exercice. Après, on pourra en reparler, mais, pour le moment, fermez-vous.

    Alors, suis-je une gentille ou une mauvaise personne ? Difficile à répondre. C'est relativement assez subjectif comme question. Je peux me considérer comme une vraie mère Térésa, mais, au fond, les autres me prennent peut-être pour une vilaine sorcière. Finalement, je crois qu'il vaut mieux ne pas aborder cette question parce que trouver la véritable réponse pourrait prendre bien des années. Il vaut mieux laisser les gens se faire leur propre idée au fil des rencontres avec ma personne. C'est relativement assez étrange comme truc, je sais, mais je n'ai jamais dit que je ne faisais pas de trucs étranges, non ? De toute manière, même si les gens ne les disent pas, ils font tous des trucs étranges. Moi, je les assume.

    Sinon, que dire sur moi ? Je suis intelligente ? Non, pas plus qu'il ne le faut, quoi que c'est assez difficile de déterminer l'intelligence d'une personne. Cela dépendant de bien des facteurs. mais si être intelligent signifie d'être encore en vie après 26 ans passé dans cet endroit, je dois l'être vachement, mais, personnellement, j'appelle plutôt cela avoir l'instinct de survie. Plus sérieusement, je n'ai jamais été une première de classe et ce n'était pas juste à cause de ma manière d'agir. Mais cela ne veut pas dire que j'étais une pauvre cruche. Quand même ! Disons seulement que j'avais la moyenne de la classe, parfois un peu plus, mais bon. Par contre, je suis une fille très observatrice et j'adore observer les gens, les détails. Ne vous demander pas pourquoi je travaille au Golden Palace. Les tricheurs, je les repère et je me venge. Mon père m'a appris tout ce qu'il savait, alors, les jeux de cartes et moi, on ne fait qu'un. Je peux alors aussi tricher et je ne me gêne pas. Manque de professionnalisme ? J'avoue que j'en manque par moment, mais ne me faite pas croire que les casinos d'aujourd'hui ne triche pas, parce que je ne vais pas vous croire. Tricher fait parti de notre monde, comme mentir. Les gens mentent aux autres, les gens se mentent. On vit vraiment dans un monde étrange et totalement fucké.

    Mais là, je m'égare de l'essentiel, soit moi. J'en suis à peine étonnée. J'ai une certaine habitude à changer de sujet, mais ça semble se faire tellement naturellement. En fait, je l'avoue, je ne le fait pas exprès. Je parle d'une chose, puis il y a un truc qui me fait penser à autres choses et ainsi de suite, jusqu'à ce que je le réalise ou que l'on me remette sur le droit chemin. C'est parfois assez insupportable, surtout quand les gens veulent avoir une simple information et non pas une panoplie de trucs inutiles. Je ne le fais pas exprès, sauf dans certaines situations où une personne m'énerve vraiment et où je décide de la faire un peu chier.

    Que puis-je ajouter ? Je ne sais pas vraiment. En fait, je ne doute pas du fait qu'il y a encore plein de chose à dire sur mon caractère parce que je n'ai encore vraiment rien dit, mais je ne sais pas. Ce n'est pas que je suis si difficile à cerner, mais il est rare que je prends le temps de m'asseoir avec moi même pour penser à ce que je suis. N’empêche que je sais que je peux ajouter certains détails. Comme quoi ? Je ne suis pas la patience réincarnée parce qu'il m’arrive de taper de crise de nerfs à une personne qui ne comprend rien, mais, en temps normal, je suis assez patiente comme personne. Je suis assez gentille, si l'on ne me fait pas chier. Bien quoi, il ne faut pas être conne non plus. J'aime aider les gens, même si cela ne semble pas le cas dans mon travail. Il faut, par moment, mettre un peu ses sentiments de côté et faire ce qu'il ce doit. Ma conception des choses est parfois un peu étrange, mais je dois ceci à mon père. Il m'a toujours dit de ne pas se fier seulement à l'apparence des choses, qu'il fallait voir au delà de celles-ci. D’ailleurs, ça me fait penser qu'il me disait souvent de laisser les gens croire ce qu'il voulait. Il vaut mieux ne pas briser les illusions, les rêves d'une personne et la laisser se rendre compte des choses par elle même. Je mentirais si je disais que j'applique tout le temps ce principe, mais cela m'arrive, oui.

    Il m'arrive quelques fois d'avoir peur, pour différentes raisons, mais quand cela arrive, qu'est que je fais. J'essaie d'analyser la situation et d'agir de la manière la plus rationnelle qui soit ? Moi rationnelle ? Et puis quoi encore. Mes réactions dépendent de pas mal de facteur, mais, généralement, je deviens un peu agressive, moi qui suis un peu passive. Toucher à mes enfants et je vais me montrer agressive. C'est con parce que pas mal de gens ici ont de grands pouvoirs et moi, j’ai rien, mais je m'en fiche. Je l'ai dit, je ne suis pas rationnelle comme femme. Je suis, comment dire, spontanée ! Je ne pense pas huit heures avant d'agir. J'agis et advienne ce qui pourra. Ouais, ce n'est pas toujours une bonne chose qui arrive, ça, je peux le confirmer. D'ailleurs, je peux aussi confirmer que j'ai un bon sens de l'humour, mais qu'il y a quand même certaines blagues qui ne passent tout simplement pas. Et quand ça ne passe pas, je ne fais pas semblant de trouver cela drôle.

    Malgré mon air "supérieure", je ne me prends pas pour une autre. Je suis comme je suis. Cet air, je n'y peux rien. Je suis née avec celui-ci, mais il ne me représente pas vraiment. Je suis tout le contraire, une maladroite. Non, je ne suis pas maladroite. Mes gestes sont précis et bien ordonnées. Mon père me disait souvent que j'aurais été douée dans l'art dans la prestidigitation, assez pour en faire une carrière et devenir meilleur que lui. Je suis certain qu'il aurait été fier de moi.

    Je crois que je vais arrêter ici. Je n'ai pas dit grand chose sur moi, mais c'est parce que j'aime bien rester mystérieuse et faire des surprises aux gens. Par contre, même si je ne l’aurais pas dit, je crois que tout le monde aurait découvert que je suis une battante. Sans cela, il y aurait longtemps que je serais morte et oublié de tous.

    Goûts Culinaires : Je n'ai jamais été bien difficile sur cette question. Ça se mange ? Bah, ok, je vais le manger. C'est aussi simple que cela avec moi.

    Goûts Musicaux : Vous savez, je suis née en 1976 et je ne suis restée que 16 ans sur Terre, alors tout ce qui est de la musique d'aujourd'hui, disons que j'y connais rien. Quoi qu'il en soit, j'ai toujours préféré la musique des années 20,50 et 70. Ah, le disco... J'adore littéralement le disco. Je sais, c'est vraiment passé date, mais je m'en moque complètement. J'aime aussi les trucs dans le genre de Grease.

    Relations avec les autres : En voilà une question. En fait, je ne me suis jamais posé cette question. Alors, y répondre ? Nan, pas facile, pas facile du tout, mais voyons ce que je suis capable de faire. Je crois que je suis assez facile d'approche. les gens ne semble pas se gêner pour m'approcher, ce qui est sans doute un plus quand on fait un métier comme le miens. Mais, le plus drôle, c'est que j'ai parfois du mal à agir convenablement avec les gens. Par contre, cela ne veut pas dire que j'agis comme un ours mal léché. Disons simplement qu'il m'arrive de faire ce que je ne devrais pas faire. Quoi qu'il en soit, j'aime être là pour les gens que j'aime. J'aime savoir qu'ils vont bien, qu’ils sont heureux. Juste cela peut parvenir à me rendre heureuse, même si je viens de passer la plus mauvaise journée de ma vie. J'avoue que je suis parfois un peu mère poule avec mes enfants, mais c’est simplement parce que je sais que je ne pourrais pas éternellement les protéger contre tout. Déjà, ils ont une certaines tendances à disparaître, ce qui me rend nerveuse. Et quand je suis nerveuse, je fume et ils me reprochent de fumer. Il y a un truc qui cloche. Quoi qu’il en soit, je ne suis pas timide comme fille, alors mes relations avec les gens peuvent aller dans diverses directions. Tout dépend simplement de la manière dont on agit avec moi.

    Nombres de relations amoureuses sérieuses : J'ai trente-deux ans, trois enfants et je n'ai eu aucune relation sérieuse. J'ai fait, comment dire, du papillonnage. Ce n'est pas de ma faute, je crois que je ne trouve pas la bonne personne. Je n'aime pas les gros machos, les mauviettes, les frimeurs, les gros imbéciles... Je sais, je suis difficile.


Dernière édition par Murphy Harkness le Lun 23 Juin - 11:04, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyDim 22 Juin - 10:59

Histoire

    Salut ! Moi, c'est Murphy, mais vous pouvez m'appeler Murphy. Je sais, ça semble un peu con de dire cela, mais j'en entends de toutes les couleurs. Il y a vraiment des gens qui se croient tout permis parce que l'on a un nom un peu étrange. Quand j’entends des gens m'appeler Murph' ou Mur ', j'ai envie de pousser ces gens sous un train, quoi que ce n'est pas vraiment ici que l'on va en trouver un. On va se mettre d'accord sur un point, je m'appelle Murphy. M-U-R-P-H-Y. Un prénom qui comporte six lettres. Pas trois ou cinq, mais six. Mais bon, on peut facilement se demander qui a eu l’idée de me donner un nom pareil. En fait, j’aurais dû être un petit garçon. Mon père aurait voulu me donner le prénom Harry, non pas en l’honneur de Harry Potter, mais pour une autre raison, sauf que quand ma mère accoucha, il réalisa que j’étais une fille. Il fallait dire que les échographies en 1976 étaient loin d’être précises. Mon père aurait pu me donner des millions de prénoms, mais son choix s’arrêta sur Murphy, un prénom masculin. J’ai de la chance, non ? Mais je ne lui en veux pas. Il m’a donné ce prénom à cause d’un livre qu’il avait adoré, Murphy de Samuel Beckett. Et ma mère dans cette histoire ? Disons simplement que ce n’est pas encore vraiment le moment de parler d’elle, quoi que je doive tout de même glisser un mot ou deux d’elle tout de suite. À peine quelques heures après son accouchement, elle est partie de l’hôpital. Pendant des années, mon père s’est contenté de me dire qu’elle était simplement partie parce qu’elle ne se sentait pas prête à devenir mère…

    Mon nom m’a souvent cause des ennuies à l’école. Les autres enfants ne cessaient de se moquer de celui-ci et mes professeurs étaient trop cons pour faire arrêter les conneries des élèves. En plus, disons que mon physique ne m’aidait pas vraiment. J’avais, tout comme aujourd’hui, une peau très pâle, pratiquement blanche, alors j’ai eu le droit à pas mal de surnoms. Au moins, ça m’a permis de comprendre très jeune une chose que bien des gens ne réaliseront jamais. Mais bon, je crois que je ne me suis jamais vraiment laissé faire. Non, je n’étais pas méchante, mais disons que je reprenais toujours les gens simplement pour le faire chier. En fait, je me souviens que ça avait commencé dans mes premières années d’école, lorsqu’il fallait parler des métiers de nos parents. Dans ma classe, des garçons avec des pères policiers, pompiers, avocats… Des filles avaient des pères médecins, dentistes, archéologues… Des garçons avaient des mères notaires, chanteuses, danseuses... Des filles avaient des mamans cuisinière, infirmière, couturières… Moi, je n’avais pas de maman et mon papa faisait un travail très différent des autres papas. Il était un prestidigitateur, mais à 7 ans, ce n’était pas facile de dire ce mot. Alors, mon professeur, se prenant pour un petit malin, avait dit à toute la classe « Ah, il est un magicien ! ». Magicien ? Non, j’essayais de dire prestidigitateur, mais j’ai eu beau m’obstiner avec lui pendant cinq minutes, il a rien compris à la subtilité qui séparait les deux métiers et il m’a tout bonnement envoyé dans le bureau du directeur. Sale con !

    Quand mon père est venu me chercher à l’école, il n’a pas dit un seul mot sur le chemin du retour, malgré le fait que j’essayais de m’expliquer. Il conduisait simplement sa voiture, sans prêter attention à moi. Ce n’était pas son genre et je n’aimais pas du tout le voir comme cela. J’avais l’impression qu’il était très en colère contre moi et pourtant, je ne comprenais pas pourquoi. J’avais simplement tenté de faire comprendre à mon idiot de professeur ce que mon papa faisait dans la vie, pas ce qu’il croyait qu’il faisait. Sauf que ça n’a rien fait. Papa ne m’a pas parlé une seule fois de mon école jusqu’à la maison… Maison… En fait, nous habitions juste au dessus du Deathly Roses, la salle de spectacle où mon père présentait ses numéros. Il l’avait acheté à un type qui trouvait l’endroit trop miteux pour y faire quoi que ce soit. C'est vraiment utile que je parle de cela ? Non, pas vraiment pour le Deathly Roses, mais si je raconte le reste, ce n'est pas simplement parce que j’en ai envie. J'ai une raison de raconter cela.

    Toujours sans daigner me parler, il est descendu de la voiture. Il avait vraiment un air que je n'aimais pas. Il a marché d'un pas rapide vers l'entrée du Deathly Roses et il a violemment claqué la porte quand il est entré, me laissant assise dans la voiture, à le regarder disparaître. L'impression qu'il était très en colère à finit par laisser place à aucun doute. Il était en colère et j'allais passer un mauvais quart d'heure dès que j'allais daigner rentrer. Il était peut-être préférable que je reste assise dans la voiture. Après tout, elle était plutôt confortable, sauf que j'avais terriblement envie de pipi et faire cela dans les buissons... non merci. J'ai fini par daigner détacher ma ceinture de sécurité, ouvrir la portière, la verrouiller, mettre un pied par terre, puis un autre, à me lever, à referme la portière et à marcher vers l'entrée. À chaque pas que je faisais, mon cœur se serrait. J'avais peur parce que je ne savais pas du tout à quoi m'attendre. Je n'avais jamais vu mon père en colère, donc j'ignorais ce qu'il était capable de faire. Je suis restée une bonne minute la main sur la poignée, mais comme les voisins jetaient de petits coups d'oeil peu discrets dans leur fenêtre, j'ai finit par entrer. Dans la salle de spectacle, tout était d'un calme fou. Les chaises reposaient sur les tables et l'éclairage de la scène était fermé. Il n'était pas là. J'ai décidé de faire le tour de l'étage supérieure, mais après avoir regardé dans chaque chambre, je ne l'ai pas trouvé C'est con parce que j'aurais pu juste aller m'enfermer dans ma chambre, mais je ne sais pas encore pourquoi, je le cherchais. Il ne restait plus qu'une seule place où il pouvait être. D'ailleurs, ça aurait dû être par là que j'aurais dû commencer à le chercher, mais il fallait croire que, malgré que je voulais le trouver, j'appréhendais quand même le moment. Tout doucement, j'ai ouvert la porte qui menait au sous-sol. En essayant d'être aussi discrète qu'une souris, je suis descendue. Il n'y avait qu'une lumière d'allumer dans cet endroit et je ne voyais pas mon père. Où pouvait-il bien être ? Disparu ? Allons donc ! Il était dans cette pièce, mais comme l'éclairage n'éclairait qu'une petite partie de la pièce, je ne pouvais pas le voir, alors que lui devait très bien me voir à cause de la lumière de la salle de spectacle. Quelle injustice.

    "Tu crois que je suis en colère, n'est ce pas ? Je t'ai simplement laissé croire cela et tu sais pourquoi ? Parce qu'il faut parfois laisser croire aux gens ce qu'il veuille bien croire. Ton professeur croit que je suis un magicien ? Ça me va. Les gens se laissent bien souvent arrêter par l'apparence des choses. Il ne cherche pas à comprendre, à voir au-delà de la simple structure, au-delà des apparences."

    Quand j'ai entendu cette voix, la voix si douce et chaleureuse de mon père, j'ai été des plus rassuré, mais j'avais du mal à saisir ce qu'il tentait de me dire. Il a finalement allumé l'éclairage du cet endroit, me permettant enfin de le regarder. Il était assis dans un beau fauteuil de suède rouge, le genre de fauteuil que l'on retrouvait dans de grands manoirs, devant un foyer. Papa avait un visage si paisible, si agréable à regarder. Il m'a fait un petit signe de la tête, signe m'invitant à venir le rejoindre. Sans perdre un instant, j'ai couru dans sa direction, évitant tout ce qui traînait dans cet endroit et j'ai sauté sur ses genoux. Il a passé son bras gauche par dessus mes épaules pour me tenir, mais aussi pour me coller un peu plus et, de sa main droite, il m'a montré une simple fleur. Elle n'avait rien d'exceptionnelle. Ce n'était qu'une rose, une simple rose.


    "C'est une rose, non " M'a-t-il demandé. Tout bonnement, j'ai dit oui. Après tout, je savais bien reconnaître une rose d'une marguerite ou d'un lys. À ce moment précis, je ne savais pas pourquoi il avait ri, mais j'ai très vite compris quand il a fait ce pourquoi on le nommait le Grand Mystificateur. Oui, j'avoue que le nom était un peu débile, mais il n'avait jamais voulu utiliser son vrai non, Adam Harkness. Juste sous mes yeux, la rose est devenue une petite souris blanche.

    "Tu disais quoi au fait ? Que c'était une rose ?" Ça ressemblait à une question. Ça en avait la forme, mais ce n'en était pas une. C'était simplement un moyen de me ramener en pleine figure ce qu'il venait tout juste de me dire. Les choses ne sont jamais ce à quoi elles ressemblent. Ça avait tout à fait l'apparence d'une rose, mais, au font, était-ce vraiment une rose ou une souris. Il y avait-il eu vraiment de la magie ou alors n’était qu’un tour de passe passe ? Étant sa fille, je connaissais la réponse, mais j’ai mieux compris ce qu’il avait voulu me dire un peu plus tôt. Les gens s’imaginent des choses. Ils y croient fermement et même s’ils ont tord, ils croient qu’ils ont raison. Mieux vaut laisser les gens croire ce qu’ils veulent et les laisser se rendre compte qu’ils ont tords, les laisser foncer dans un mur finalement. C’était cela avait la magie et c’était cela qui avait séduit mon père. Suite à cette soirée, j’avais décidé de prendre plus au sérieux ce que mon père m’apprenait. Et oui, je dois l'avouer, je prenais un peu tout cela à la légère, mais j'ai finit par comprendre bien des choses.

    Un jour, je suis rentrée un peu plus tard que je devais rentrer. J'ai dit que j'avais compris ce que mon père m'avait raconté, par que je mettais toujours ce qu'il disait en pratique. Si je me souviens bien, je devais avoir, voyons voir, hum... 14 ans...non, j'en avais 13. C’est autre chose à 14 ans, autre chose que je vais devoir raconter parce que je viens tout juste de dire qu'il s'était passé quelque chose à ce moment-là et je ne doute pas du fait que vous voulez savoir ce qui s'est passé, sans compter que c'est aussi très important pour le reste de mon histoire. Donc, voilà, j’étais rentrée un bon deux heures plus tard que prévus parce que je m’étais un peu battu en cours de sport avec un autre étudiant. Mais comme Monsieur était un joueur de football, il n’a eut aucune heure de colle. Comme c’est juste comme truc, surtout que c’était lui qui avait commencé, mais qui allait-on croire ? Le beau sportif ou la fille qui foutait toujours la merde en cours, même si elle avait de bonnes notes ? Vu ce que je viens de dire, il est claire que personne ne m’a cru et même s’il y aurait eut une personne pour me croire, elle n’aurait pas pu sanctionner le joueur parce que c’était le capitaine, so popular et qu’il y avait un match hyper important ce soit. Quelle merde ! Alors, j’ai dû recopier la définition du mot respect près de 500 fois. Bon j’exagère sans doute parce que la définition devait bien faire près de 100 mots et que j’étais un peu lente à écrire, mais c’était l’impression que j’avais.

    Donc, voilà. Je suis entrée par la porte du Deathly Roses, m’attendant à voir mon père sur scène, en train d’impressionner parents et enfants qui étaient venus assister à son spectacle, sauf que… À la place de voir mon papa adoré, il y avait Georges le magicien. Déjà qu’avoir le mot « magicien » dans son nom d’artiste ce n’est pas fort, mais garde son prénom, aussi laid que celui de ce type. Nan, ce n’est pas croyable. En plus d’avoir un nom de scène des plus horribles, ce type était pas foutu de faire un bon numéro. Le lapin qui sort du chapeau ? Tout le monde sait qu’il y a un double fond à ton stupide chapeau. Le truc des anneaux ? Tout le monde sait qu’il y a une ouverture dans tes anneaux. D’ailleurs, je crois que c’était les deux seuls tours qu’il connaissait. Alors, pourquoi ce n’était pas mon père qui était là à la place de ce gros bouffon ? Il l’engageait quand il avait une affaire urgente à réglée. Depuis quelques temps, il m'avait laissé le remplacé parce qu'il savait que même à 13 ans, j'assurais plus que ce gros bouffon. Sauf que se soir-là, j’avais été collé, donc il avait dû faire appel à ses services. D’ailleurs, je n’ai jamais compris pourquoi il n’a jamais trouvé un meilleur replaçant que ce type. La peur de se faire voler la vedette ? Non, quand même.

    Je suis restée un petit moment à le regarder, un air un peu étrange sur le visage. Les enfants appréciait sans doute bien les petits tours de tonton Georges, mais les parents, ainsi que moi-même étions abasourdit par tant de manqué d’imagination et de technique. Juste à le regarder agir, il était facile de déterminer le truc, quand il était foutu de ne pas faire un truc connu de tous ou de réussir son tour. Mais bon, tant de débilités c’était bien pendant un petit moment, mais trop longtemps, pas du tout, J’aurais même pu commencer à le trouver bon… Non, quand même ! Oui, je sais, j'ai souvent tendance à dire "Non, quand même !", mais comme je ne suis pas en train d'expliquer ma manière de parler, je vais éviter d'expliquer pourquoi j'utilise souvent cela et je vais continuer à parler de moi. Ça fait un peu narcissique, non ?

    Je suis alors descend au sous-sol, mais, une fois arrive en bas des escaliers, j’ai réalisé une chose. J’entendais des voix, mais pas celles qui provenaient de la sale de spectacle, comme j’avais cru en premier. Non, il y avait la voix de mon père et celle d’une femme. J’aurais dû remonter et aller ailleurs, mais j’étais trop curieuse et puis, je me demandais pourquoi, s’il était chez nous, c’était Georges qui donnait un spectacle. Comme une voleuse, je me suis approchée, restant tapis dans l’ombre et je me suis cachée dans un coin. Va ce que j’entendais, ils semblaient se connaître et leur conversation devait être commencée depuis un bon moment. Sauf que... sauf que cela ne m’a pas empêché de comprendre. Sauf que cela ne m’a pas empêché de savoir... J’ai compris, su, réalisé, peut importe le mot utilisé, de savoir pourquoi je n’avais pas eu de mère.

    J’avoue que ça ne m’a pas manqué de ne pas en avoir, mais je me suis souvent demandé pourquoi elle n’avait pas voulu de moi. Mon père disais souvent que c’était parce qu’elle ne se sentait pas prête, mais la vérité... J’aurais préféré savoir que c’était une psychopathe, une dangereuse tueuse à la cuillère ou même une femme avec un énorme problème dans le genre de l’alcoolisme ou de la dépendance à la drogue, mais la vérité. Quelle garce cette femme. Et dire qu’elle avait le culot de se ramener dans la maison à Mon père pour le faire chier. Il y avait vraiment des gens qui ne savait pas ce que c’était les bonnes manières. Elle disparaissait pendant 13 ans et là, elle daignait vouloir ma garde ? Moi je vous dit, c’était qu’une question de frics. Elle voulait avoir de l’argent de mon père, mais je crois que celui-ci à très bien su la convaincre de s’en aller et de ne plus jamais revenir.

    Je crois qu’il n’a jamais su que j’étais là cette soirée ou peut-être bien qu’il l’a deviné, mais il ne m’en a jamais parlé et je crois que c’était mieux ainsi. Et puis, il n’aurait sans doute rien pu ajouter de plus, alors on n’a fait semblant ou plutôt, on a laissé les choses telles qu’elles étaient.
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyVen 4 Juil - 10:51

    En plein milieu de l’année scolaire de mes 14 ans, un nouvel étudiant est arrivé dans l’école et, plus précisément, dans ma classe. Les gens chuchotaient souvent des choses sur son passage, comme le fait qu’il avait tué sa famille en mettant le feu à sa maison. On le bousculait souvent, on lui faisait lui, on lui piquait ses trucs, on l‘enfermait dans son casier… Après cela, on viendra me dire que les enfants ne sont pas méchants. Dans un sens, j’aurais dû être heureuse parce que les gens avaient arrêté de m’embêter tout le temps, mais je plaignais ce garçon. En plus, si personne n’avait raconté de rumeur sur lui, j’aurais pu parier toutes mes économies que tout le monde aurait voulu être son ami et les filles sa copine. Il était vraiment très beau et douée, sauf qu'à cause de cette histoire sur sa famille et bien... Saleté d'enfants. Désolé mes chéris. Je vous adore, mais les enfants sont tout de même vraiment méchants quand ils le veulent.

    Donc voila. Les étudiants s’en prenaient tout le temps à lui et les professeurs ne faisaient jamais rien pour lui venir en aide. En fait, ils leur arrivaient même de le punir, alors que ce n’était pas de sa faute. Tiens, je ne sais pas pourquoi, mais ça me rappelle quelque chose, pas vous ? Si un jour je sors de ce trou, l’une des premières choses que je vais faire c’est d’aller botter quelques postérieurs. Nan, je m’égare encore un peu. Un soir, après les cours, je rentrais tout tranquillement chez moi quand j’ai entendu un bruit provenant d’une ruelle. Bon, c’était plus qu’un bruit, mais plus une fanfare dans une ruelle. Toute fille aurait sans doute pris ses jambes à son cou, mais pas moi. Curiosité, vilaine curiosité. Quand j'ai pu enfin voir dans cette fichue ruelle, j’ai vu trois gros costaud de derrière année s'en prendre au nouveau. Bon d’accord ! Il n'était plus si nouveau que cela à ce moment là, mais je ne connaissais pas encore son nom. Le pauvre, il était par terre et les trois lui ruaient des coups de pieds. Si j’aurais été censé, je serais partie tout simplement ou j'aurais appelée à l'aide, mais non. je suis un peu débile, alors qu'est que j'ai fait ?


    "Hey ! Hey oh ! Les gorilles sans cervelle ! Oui, c'est à vous que je parle ! Vous n’avez pas envie de vous en prendre à une personne de votre taille ? mais non, c'est vrai que votre cerveau était un option que vos parents ont refuses de prendre, donc vous n'êtes même pas foutu de penser à autre chose qu'à faire chier tout le monde et à faire du sport." Enfin, c'est d’après mes souvenirs, mais je suis prête à parier que j'ai été plus grossière que cela vu la manière dont ils se sont rués sur moi. Une pauvre fille contre trois gros types. Elle n’a pas eut de chance vous vous dites ? Ce n'est pas parce que je suis une fille que je ne sais pas me défendre et puis... Vous semblez oublier quel était le travail de mon père. Vu le peu d'intelligence qu'il avait, j'ai pu leur faire peur avec un tour complètement idiot, digne de Georges le magicien. Tiens, il tait peut-être le père de l'un de ces trois connards ?

    Pendant un petit moment, je suis restée à rien faire, sauf à rire de ces types, mais un grognement m’a ramené à la réalité. Si j'avais faillit me faire réduire en bouilli, ce n'était pas pour les voir fuir, mais pour aidé la personne qui se tordait de douleur. Comment avais-je pu l'oublier. Voilà toute une question, mais j'imagine que sur le coup, j'ai dû simplement ne plus faire attention à lui. Aussitôt que j'ai entendu le grognement, je me suis précipitée vers lui, lui qui tentait de se lever. Au début, il m'avait un peu repoussée, mais vu mon insistance et sans doute plus au fait qu'il ne pouvait pas du tout se lever, il m'a finalement permis de l'aider. Sans poser de questions, je l'ai laissé me guider jusqu'à l'endroit où il habitait. On pouvait vraiment dire qu'il manquait de chance. Parmi tous les endroits où il aurait pu atterrir, il avait fallu que cela soit à Londres, chez les Adamson. C'était vraiment une famille pas normale. je pourrais vraiment donner tous les détails, mais ça fait parfois froid dans le dos. Les Adamson, il était préférable de ne jamais les rencontrer et encore moins qu'il devenir notre famille d'accueille. Par chance que personne ne le savait parce que ça lui aurait causé encore plus d'ennuis que ceux qu'il avait. Tout le monde détestait cette famille. je n'avais pas envie de le laisser rentrer, mais, en même temps, je ne pouvais pas faire grand chose. Il n'aurait pas voulu venir ailleurs avec moi et il était hors de question que je mette un seul de mes jolis petits orteils dans cette baraque. Alors, je l'ai laissé rentré et je suis aussi rentrée chez moi.

    Le lendemain, à l'heure du déjeuner, j'ai décidé d'aller poser mon postérieur à côté du sien. J'ai eu le droit à pas mal de regards, de doux chuchotements...pas discret du tout et à des miettes de bouffes dans mes cheveux, mais bon. Ça m'aillait. Étrangement, je n'ai pas dit un seul mot pendant que je bouffais mon sandwich thon/mayonnaise. Je m'en souviens encore ? Oui, mais c'était parce que l'on était jeudi et le jeudi j'amenais toujours ce sandwich.


    "Mais qu'est que tu veux bon sang ? Ça fait vingt minutes que ton derrière est assis là et t'as rien dit. Tu ne me demande pas comment je vais ? " Tiens, il savait parler ? Il y avait des journées ou j'en doutais, mais là, j'en étais assuré. Il savait parler ! Miracle.

    "Nan, j'en ai rien n'à foutre de toi. Si je me suis assise là, c'est parce qu'il y a aucune autre place de disponible...qui ne soit moins pire que celle-ci." Sérieusement, j'ai répondu cela ? Et comment ! Le plus pire, c'est que ça l'a fait rire. Bien des personnes se serait offusquée, mais pas lui. C'était la preuve qu'il était bien plus intelligent que la plupart des étudiants dans cet endroit.

    "Je m'appelle Calvin Evans. Je crois que jamais un professeur n'a utilisé mon nom." Me dit-il, tout nonchalamment, presque d'un air désintéressé, mais il n'avait pas tord sur un point. Je n'avais jamais entendu un professeur utiliser son nom ou même son prénom et j'étais dans pas mal de ses classes. Ils l'appelaient toujours d'une manière un peu méchante. Ouais, les adultes pouvaient aussi se montrer méchants.

    "Moi, c'est Murphy et si jamais tu m'appelles autrement que Murphy, je dis à tout le monde où tu habites." Non, je n'étais pas sérieuse pour la dernière partie de ma phrase et je crois qu'il l'a compris parce qu'il a osé m'appeler Murph' cinq secondes après que j'ai eu terminé de parler. Alors, pour me venger, je lui ai donné un coup de coudes dans les côtes. Ça a dû faire vraiment mal vu ce qui s'était passé la veille, mais il ne l'avait pas trop mal pris.

    À partir de ce moment-là, on a toujours été ensemble, de véritables amis. On faisait à peu près tous ensemble, même se faire embêter par les autres, mais il fallait s'y attendre. Bien sûr, il y avait certaines personnes qui croyaient que l'on restait simplement ensemble parce que l’on n’avait personne d'autre, mais ce n'était pas le cas. Bon d'accord, on n’avait pas d'amis, mais ce n'était pas une raison pour supporter une personne que l’on n’aimait pas. Si l'on était ensemble, c'était simplement parce que l'on s'entendait très bien. Je crois que mon père était content de me voir avoir un ami. Je passais sans doute un peu moins de temps avec lui, mais il devait être heureux de me voir nouer des relations, autre que défavorables. Mais je ne l'abandonnais par pour autant. S'il avait besoin de moi pour un spectacle, je criais toujours présence, même si j'avais planifié un truc avec Calvin. Ça ne le dérangeait pas, tant que je lui gardais une place dans la salle. Il adorait les spectacles de mon père.

    Et, au fil et à mesure que le temps avançait, au fils et à mesure que les mois passait, mon amitié envers ce garçon si adorable s'est transformé en amour. Je sais, c'est tellement cliché, mais on ne peut contrôler ses sentiments. Et je n pouvais pas, non plus, le forcer à m'aimer. Comme l'on dit si souvent, on ne peut forcer un coeur à aimer. J''étais si certaine qu'il ne m'aimait pas ? Oui, enfin. Il m''adorait littéralement comme amie, mais pas d'une manière dont un aime une personne pour lui offrir son coeur. Et puis, il avait de vue sur Elisabeth Clarisson. Il savait qu'il n'avait pas de chance avec elle, mais il l'aimait quand même. Faut quand même avouer que c’était ridicule comme situation. Moi je l’aimais, mais lui aimait une autre fille qui ne l’aimait pas. Je l'aimais, mais je ne lui ai jamais dit, pas une seule fois, même quand Elisabeth l'a rembarré après sa déclaration. J'aurais pu saisir cette occasion et il se serait consolé avec moi, mais ça n'aurait pas été ce que j'aurais voulu. Après tout, je n'avais pas envie de servir de vieille chaussette.

    Je ne sais pas ce qui nous a pris, mais, un soir, on a volé une bouteille à mon père. Vu que l'on avait 15 ans et vu la grosseur qu'elle avait, permettez moi de ne plus me souvenir de quoi il s'agissait, mais ce que je peux assurer c'est que l'on l'a finit à deux et que l'on était vraiment soul. Soul à un point tel que l'on a fait ce que l’on n’aurait pas du faire. De mon côté, je crois que ça ne m’a pas vraiment dérangé vu ce que je ressentais pour lui, mais lui, il a été surpris de réaliser ce que l'on avait fait. Il faut dire que se réveiller tous les deux, dans mon lit, nu comme un verre, les vêtements un peu partout, ça a de quoi frapper. On s'est promis de ne plus jamais recommencer et de ne plus jamais en reparler, sauf que... Trois mois plus tard, j'ai dû briser notre promesse. J'étais tombée enceinte de lui. Il n'avait pas fait cela avant et je ne l'ai pas fait après, donc il ne restait que lui. Quand je lui ai dit, il à commencé à nier ce que l'on avait fait, me traitant de trainée, puis il s'est mis à pleurer et il est partie en courant, mais laissant là, au beau milieu du parc, seul, avec cette chose à l'intérieure de moi. Je ne savais pas quoi faire. Mon père serait sans doute très déçu de moi et je ne savais pas du tout comment il allait prendre la nouvelle, ni ce que je pouvais vraiment faire. J’avais eu la discussion avec mon père, mon on ne s’attendait jamais à ce que cela nous arrive, si jeune.

    Je m'étais donc assise sur une balançoire, seul avec mes larmes. La pluie avait commencé à tomber par cette nuit fraîche, mais je ne voulais pas rentrer chez moi. je me contentais simplement de faire "disparaître une pièce" de mes mains. Je ne sais pas pendant combien de temps je suis restée seule, mais un garçon un peu plus âgé que moi est venu s'asseoir à ma droite, sur une balançoire libre. Je n'avais pas fait attention à lui, jusqu'au moment où il me demanda comment je pouvais faire disparaître cette fichu pièce.


    "C'est un don que je tiens de mon père." Et c'était vrai. Il finit par se lever pour me faire face, avant de s'accroupir à ma hauteur. Il avait un bel œil vert menthe et un autre d'un magnifique bleu/gris. Il avait sans doute bien d’autre chose à regarder, mais mon regard est resté pris sur ses yeux. J'ai eu l'impression que le temps s'était arrêté entre mon réponse et les derniers mots que j'entendis de lui.

    "Je suis désolé." J'ai senti quelque chose se planter dans mon cou, la pièce me glisser de mes mains et plus rien. Ah, ce maudit trou noir. C'est incroyable à quel point ça peut revenir souvent. Merde, je me demande vraiment si une personne va, un jour, pouvoir raconter qu'elle n'a pas perdu connaissance ? Mais bon... Quand j'ai finalement ouvert les yeux, ma vue était brouillée et tous les muscles étaient engourdis. J'avais l'impression d'avoir passé une soirée à me battre avec des animaux sauvage, mais vu la dernière chose dont je me rappelais, ça ne pouvait pas être cela. Pendant un petit moment, j'ai pensée que l'on m'avait agressé, mais vu que je portais encore tout mes vêtements, exactement comme je les avais mis ce matin, ça ne pouvait -être cela. Et puis, où pouvais-je bien être. L’odeur de cet endroit était très différent du parc ou j'étais et je n’étais pas couché dans le sable, mais plus dans du gravier. Dieu seul savait à quel point mettre du gravier sous des balançoires était la pire des idées, alors, je savais que je n'étais plus dans ce parc. Alors, où étais-je ? J'avais dû me tortiller dans tout les sens pour me tourner et ainsi pouvoir me lever. Ma stabilité laissait à désirer, mais je savais très bien que j'étais loin, très loin de chez moi. Ce décor ne me disait rien. Cette ville, j'avais l'impression d'être dans un autre monde.

    "On est perdu ?" C'était qu'une simple question, mais je n'avais pu m'empêcher de crier. J'avais été surprise ? Pas de la manière dont on pourrait s'imaginer. Je n’avais pas sursauté à cause que l'on s'adressait à moi, mais à cause de l'apparence de cette personne. Un soir d'halloween, j’aurais sans doute dit que j'adorais son costume, mais on était à la fin juillet... Dans une langue que je n'avais pas compris, il avait dit quelque chose en regardant le ciel, avant de reposer ses yeux sur moi.

    "Tu sais, tu pourrais être plus gentille avec les gens qui te pose une simple question ma chère. Je sais, je suis peut-être pas très beau, mais il y a pire que moi ici. Regarde autour de toi. À te voir, tu ne sais pas dans quel merdier tu es tombé ma jolie." Finit-il par ajouter. C'est à ce moment-là que j'ai remarqué son accent très prononcé. Il fallait bien que le choc de son physique passe, mais je dois avouer qu'il n'était pas réellement passé. Par contre, personne ne peut réellement m'en vouloir. Je suis prête à parier n'importe quoi que n'importe qui qui se réveille dans un endroit inconnu après avoir un peu parlé avec un inconnu aurait eu peur en voyant cette créature verdâtre qui semblait sortir tout droit du fond d'un marais, comme dans les histoires d'horreur que les enfants se racontaient sur le bord d'un feu en pleine forêt. Pour revenir à cet accent, il était russe ou il venait de l'un des pays près de celui-ci, dans le genre de la Finlande, mais ça n'avait rien de l'accent américain, français ou australien.

    "Que voulez-vous dire ?" J'avais finalement réussi à articuler quelque chose qui semblait se tenir. D'après moi, ça n’avait pas été aussi claire que cela, mais il avait compris ce que je voulais dire ou alors il avait réussi à le deviner. Quoi qu'il en soit, il répondit à ma question. Quand il eut terminé, je passai par toute la gamme des émotions possible. Vous savez, se faire dire à 15 ans que l'on ne reverra sans doute plus jamais notre père, que l'on était pris ici, dans ce monde, que malgré tout ce que l'on pourrait faire, notre vie allait se terminer ici, que l'on était pris dans un endroit plein de mutants.... Ouais, ce n'était pas facile à accepter. C'était comme tomber d'un immeuble de 50 étages sans parachute et s'écraser au sol, sans mourir, mais en ressentant toute la douleur de cette chute.


Dernière édition par Murphy Harkness le Ven 11 Juil - 8:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyJeu 10 Juil - 11:08

    Aujourd'hui, je me considère chanceuse d'avoir tombé sur cet homme. Depuis que je suis ici, j’ai vu pas mal de chose arriver et j'ai été une petite merdeuse et pas simplement parce qu'il m'expliqua où j'étais, mais aussi pour tout ce qu'il fit pour moi.

    Anatoli Ivanov, car tel était son nom, en a fait beaucoup pour moi. Il m'a offert un toit, la connaissance de ce monde, le russe, même si je ne le parle vraiment pas bien, de la nourriture, de l'argent... En fait, les gens auraient eut tendance à penser deux choses de cet homme. Un, il était amoureux de moi ou alors qu'il cherchait à remplacer sa fille, si jamais il avait eut une fille. En fait, malgré que l'on fût très proche, il ne m'avait jamais raconté son histoire, mais il m'a forcé à raconter la mienne. Pourtant, je crois simplement qu'il voulait simplement m’aider parce qu'il n'a jamais rien fait de déplacé. En fait, il était un peu comme le grand frère que je n'avais jamais eu.

    Malgré tout, je lui ai menti pendant plusieurs mois. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne lui avais pas dit que j'étais enceinte. Je ne l'avais pas oublié, mais qu'est que je pouvais bien faire. En fait, je crois que j'ai eu peur de sa réaction s'il l'apprenait, mais il a finit par le réaliser. Des vêtements amples ne peuvent pas cacher éternellement une bedaine et les vomissements matinaux n'aident pas à cacher une telle chose.. J'étais très honteuse quand il m'en a parlé, mais il a été si adorable encore plus. À partir de ce moment, il a été encore plus au petits oignons avec moi. Il fallait dire que cette grossesse me rendait malade comme un chien, surtout lors du dernier mois.

    Si vous me le permettez, je vais passer les détails sur l'accouchement. Il y a des choses que personne ne veut savoir. Croyez-moi sur parole. Tout ce que je vais me permettre de dire c'est que je n'y serais jamais arrivée sans l'aide d'Anatoli. Pendant ce qui m'avait paru des heures, je suis restée à regarder cette petite chose qui était dans mes bras sans vraiment savoir quoi en faire. En fait, je savais la base de tout, ça a parfois du bon d'aller au zoo, mais c'était différent. Malgré que je savais quoi faire, je ne le savais pas pour autant. En fait, je me demandais si je voulais vraiment garder cet enfant ou tout simplement m’en débarrasser, quoi que j’avais pris ma décision depuis longtemps. Si j’avais voulu m’en débarrasser, je l’aurais fait quand j’avais su la nouvelle, mais non. À défaut d’avoir Calvin, j’allais avoir un enfant de lui ? Non, enfin peut-être qu’au moment où je l’avais su j’avais pensé comme cela, mais ça a été différent quand j’ai vu ce bébé, mon bébé.

    Malgré le fait que je ne savais pas trop quoi en faire, j'ai tout de suite su son nom : Harry. Harry pour mon père car c'était un prénom qu'il avait beaucoup apprécie. Sachant son métier, on pouvait facilement savoir pourquoi il adorait ce prénom, mais pour ceux qui n'aurait pas encore compris pourquoi Harry, je vais vous le dire. C'était à d'Harry Houdini. Un personnage vraiment formidable et les exploits que l’on racontait sur lui… Vraiment impressionnant !

    Au fil des jours de en suivant les conseils d'une certaine créature, j'ai finit par savoir quoi faire. Ce n'était pas si facile, mais, en même temps, ça semblait tellement normal. Et puis, je dois dire que Harry était un bébé assez facile et calme. Qu'est que j’aurais fait avec un petit monstre. Dès le début, Anatoli à été oncle Anatoli pour Harry. On avait décidé de mettre les choses aux claires dès le début, pour ne pas qu'il y ait de confusion. Il était vraiment formidable avec le petit. D’après moi, il avait eut des enfants parce qu'il savait exactement quoi faire à chaque situation, mais comme il ne m'a jamais rien dit sur son passé, je ne l'ai jamais su. D'ailleurs, ça me fait penser que mon petit bout de choux n'a jamais eu la même réaction que moi en voyant son oncle. Il faut dire qu'un monstre des marrais était quel que peu normal pour lui. Il voyait à tous les jours des trucs étranges, mais je ne lu ait jamais caché d'où il venait réellement, toute cette histoire de merde. Bien sûr, il ne comprenait pas vraiment quand il était tout petit, mais il a tout de même été asse brillant pour le comprendre à un assez jeune âge. Je suis certaine qu'il aurait fait un étudiant tellement brillant, quoi qu'un peu turbulent, mais c'est la faute à quoi ? À mommy ! Il ne teint pas du voisin.

    Vous avez déjà remarqué que, quand tout va bien, il y a toujours une merde qui vient tout faire chier ? Par moment, c'est une petite merde qui vient s'introduire dans votre bonheur, mais, par moment, c'est carrément trop énorme. Je sais, je suis un peu vulgaire, mais malgré le fait que ça fait plusieurs années que c'est arrivé, ça me fruste toujours autant.

    C'était un soir d'hiver. La neige tombait doucement, dans une valse formidable. Harry s'était endormis dans mes bras en attendant le retour d'oncle Anatoli. Il voulait lui montrer quelque chose. Mon petit était âgé de 5 ans à cette époque. Anatoli avait une course à faire dans la Quartier Sud. Je n'aimais pas trop quand il y allait, mais il n'avait pas peur d'y aller, lui. En fait, je n'avais pas peur, mais je n'aimais juste pas cela. Quoi qu'il en soit, je l'ai attendu. 20 heures, 21 heures, 22 heures, 23 heures, minuit, une heure, deux heures, trois heures... J'avais fini par m'endormir moi aussi, mais quand je me suis réveillée, il n'était toujours pas rentré. Malgré qu'il ait pu passer la pire des soirées, il aurait pris le temps de déposer une couverture sur moi et mon fils, mais il n'y avait rien. Je déteste tellement savoir que je ne sais pas comment vont les gens que j'aime.

    J'ai finit par prendre une décision. J'ai habillé Harry comme il fallait par cette froide journée et j'ai fait de même avec moi. J'aurais aimé ne pas l'amener avec moi, mais je n'avais pas envie de le laisser tout seule, alors il est venu. On avait marché un petit moment, peut-être vingt minutes avant de se retrouver dans le quartier Sud. Oui, je sais, ce n'était pas vraiment un lieu pour les enfants, mais j'avais une histoire à mettre au claire. J'ai posé beaucoup de questions aux gens qui se trouvaient à cet endroit, mais ils n'étaient pas bien bavards. En fait, la plupart me répondait que je ferais mieux de me mêler de mes affaires si je ne voulais pas que quelque chose arrive à mon petit bonhomme. Je déteste quand on menace mes enfants. Ça me fait sortir de mes gonds, mais j'avais dû me mordre l'intérieur des joues pour ne pas leur sauter dessus et leur arracher leurs yeux. Et, malgré tous mes efforts, il fallait qu'un sale con me mette plus en colère que les autres. Mais bon, ça n’avait rien d'un cas exceptionnel. Chaque fois, c'était la même chanson. Il y avait toujours quelqu'un, quelque part, qui parvenait à vous mettre plus en colère que les autres et, généralement, c'était avec cette personne que l'on devait filer doux, mais c'était généralement avec cette personne que l'on pognait les nerfs.


    "Non, mais t'es pas foutu de répondre à une putain de question !?" Oui, je sais. J'aurais dû surveiller mon langage à question de mon fils, mais ce fils de pute commençait sérieusement à me faire chier. N’empêche que j’aurais du continuer de filer doux parce que, comme je disais, je n’étais pas tombé sur une personne à réellement embêter. Le chef de la Sphère ? Heureusement non, mais ce n’était pas tellement mieux. C’était un membre assez bien placé, mais aussi très puissant à ce que j’avais entendu. Et vu ce que je lui avais répondu, il n'était pas étonnant que je m'étais retrouvé dans une situation très délicate. Ah, saleté de grande gueule.

    Il n’avait pas pris ma remarque et il s’était aussitôt jeter sur moi, tel un fauve. Mais qu’est que je raconte c’était un fauve. Il avait toutes les caractéristiques d’un lion, sauf qu’il savait parler, et qu’il avait des traits humains. Je m’étais alors retrouvée plaqué au sol, lui juste au-dessus de moi. En plus, il avait même l’haleine qui allait avec son apparence. Je crois qu’Harry aurait bien aimé intervenir, mais je lui avais fait juré que peut-importe comme la situation allait se passer, il n’allait rien faire. Ce n’est plus aujourd’hui que je pourrais obtenir cela de lui.


    "Je pourrais te tuer, ici et maintenant." Ah, des menaces. Ça me rappelait quand j’allais à l’école. J’en recevais à chaque jours, sauf que les types en question n’avait pas des griffes de quinze centimètres ni ces canines longues de plus de cinq centimètres.

    "J’ai aucun mal à le croire vu l’haleine de cheval que t’as." J'avais eu un peu de mal à lui répliquer sur que son poids m’écrasait les poumons, mais je n'allais quand même pas le laisser me menacer sans rien dire. S'il devait me tuer, autant qu'il se souvienne un peu de moi qu'autrement comme l'enquiquineuse qui était venue le faire chier à un moment donné. Et ça c'était s'il se souvenait de moi un jour. Et pourtant, au lieu de me dévorer tout cru ou bien de me sortir les tripes de mon ventre, il a souris. Un petite sourire, mais un sourire tout de même.

    "Il m'avait prévenu que tu étais une petite morveuse insupportable. Tu devrais apprendre à fermer ta gueule. Ça te permettrait de vivre plus longtemps. Et simplement parce qu'Anatoli toujours fait ce que l'on lui demandait, je vais te répondre. Il est parti à vingt heure dix. Après cela, je ne l'ai plus revu. Où il est ? J'en sais rien. Maintenant, rentre chez toi et amène ton sale gosse avec toi !" Dit comme cela, ça ne semble pas si terrible, mais à mois de cinq centimètres du visage avec l'haleine qu'il avait et avec le ton qu'il avait employé, ça avait de quoi vous donner le chair de poule, mais je n’ai pas eu peur...ou peut-être que si, mais bon.

    Je suis finalement rentrée chez moi ou plutôt chez Anatoli, mais comme il n'était plus là, ça devenait seulement chez moi. N'était plus là ? Ça semble presque méchant dit comme cela, mais je sais qu'il ne nous aurait pas abandonné. Il devait lui être arrivé quelque chose de vraiment grave comme être mort ou il faisait partie des disparus. Chaque fois que je fois un Gardien de l'Enfer, je le regarde toujours très attentivement, histoire de voir si ce n'est pas mon petit monstre de marais, mais, à chaque fois, ce n'est pas lui. Même après tant d'années, sa disparition me fait vraiment de quoi. J'ai perdu mon père et puis mon "grand frère". Si un jour je devais perdre l'un de mes enfants, je ne sais pas ce que je pourrais faire.

    Le temps a passé et j'ai dû me trouver un travail pour subvenir à nos besoins. J’ai fait quelques petits trucs comme porter des colis, des lettres, mais rien de très payant ou de très sérieux. Devenir une pute ? Nan, hors de question ! Ça payait peut être bien, mais c'était aussi risqué. Maladie et on ne savait jamais vraiment ce que pouvait faire la personne. Je laisse votre imagination faire son travail. Alors, j'ai finit par faire une chose que mon père n’aurait jamais cautionnée. Je sais que s'il l'aurait su, il aurait été plus que déçu, mais que pouvais-je faire d'autre ? J'étais dans une merde pas croyable. Alors, j’ai utilisé mes dons. Pendant qu’Harry jouait avec d'autre gamin, j'allais au Casino. Ha, le Golden palace. Les machines à sous ? La roulette ? La seule chose qui m'intéressait dans cet endroit, c'était les jeux de cartes. La première fois que j’y suis allé, j’avais simplement observé. Je voulais voir comment. La seconde fois, j’ai joué d’une manière clean. Aucune triche de ma part. La troisième fois et toutes celles qui ont suivit ? J’ai triché. Vous savez, ça semble con dit comme cela, mais je réussissais, j’avais adapté l’un des tours de mon père au jeu, mais je n’étais pas conne. Je ne faisais pas exprès de parier gros pour ramasser le paquet. J’y allais doucement, je perdais de temps en temps, mais je finissais toujours mes journées avec des gains. Par contre, je n’y allais pas à chaque jour. Juste quand j’avais besoin de frics.

    Mais on a finit par me soupçonner, sauf que ça a pris un an avant que les gens ne le réalise. Mais quand même. Quand il l'on réalisé, j'étais dans la merde. On m'a fait monter dans le bureau du chef de la sécurité. Ah, merde. Au moins, on ne m'avait pas attaché sur la chaise, mais ça ne changeait rien. Le gros type qui était où la porte m'empêchait de fuir et il aurait sans doute pu me réduire en bouilli, alors autant rester tout gentiment assise. Et puis, une fille est entrée. Une très jeune fille qui ne devait pas avoir plus de 10 ou 11 ans, suivit du chef de la sécurité. Sans rien me demander, cette petite à mis la main sur la mienne. On comptait me faire avouer avec ça ?


    "Non, rien." Elle avait dit cela tout doucement, mais les gens dans la pièce semblèrent très surpris. Moi aussi j’étais surprise, mais c’était peut-être aussi parce que je ne comprenais pas pourquoi elle avait fait cela et pourquoi elle venait de dire ces deux simples mots. J’étais complètement perdue.

    "Tu dois savoir, depuis le temps que je te te vois traîner ici, qu’on déteste les gens comme toi, les tricheurs. Par contre, tu es la première personne que je vois qui arrive à tricher, sans utiliser de pouvoirs." Je devais prendre cela comme un compliment ? Je ne sais pas, mais je n’ai pas posé la question. En fait, ce n’était pas parce que j’en avais pas envie, mais le chef de la sécurité m’avait très clairement comprendre que je devais fermer ma gueule, sauf si on me posait une question. Très clairement signifiait en outre une lame de couteau sous la gorge. Très sympa comme type...enfin quand on le connait. Sans cela, il est un véritable ours mal léché. Après un court moment, il avait finit par me demander comment je m’y prenais et j’avais dû déballer mon sac. Arf, je déteste dévoiler ce genre de choses. Ça prend des années à créer et bien du temps à maîtriser. Et là, mais technique ou plutôt la technique de papa venait d’être brûlé. Par chance, ce n’était pas la plus exceptionnel. En fait, les magiciens et prestidigitateurs la connaissent tous. Mais, dans un sens, je venais de faire des aveux et ça me mettait dans l'eau chaude, alors j'avais décidée de rattraper le coup.

    "Oui, je le sais. D’ailleurs, je me demande pourquoi vous n’avez encore rien fait pour le joueur de la table huit. Vous pouvez allez voir. Il y a aucun risque pour que je me sauve si vous laisser votre gros molosse en place." J'étais certaine que le mec en question trichait ? Aussi certaine que je me nommais Murphy Harkness. Les gens ne l'avaient peut-être pas remarqué à cause qu'il se focalisait sur moi, mais ça ne me faisait aucun doute. il trichait allègrement et il remportait toujours un gros paquet. La chance du débutant ? Mon œil. Le chef de la sécurité m'avait regardé pendant un petit moment, puis il est sorti, emmenant avec lui la petite fille. Mais il avait pris soin de me laisser son ami, l'armoire à glace.

    C'est con, mais c'est comme cela que je suis devenue croupière au Golden Palace. Pour eux, je ne suis pas une réelle menace. Je n'ai aucun pouvoir, si ce n'est que je repère les tricheurs et que je les fais payer. Quoi ! Si les joueurs peuvent tricheurs, les croupiers aussi. Vous croyez vraiment que c'est différent sur Terre ? Si c'est le cas, vous êtes con, vraiment con.
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyMer 16 Juil - 10:01

    Bien sûr, mon histoire aurait pu se termine comme cela. Enfin, vous voyez le genre. Elle eut un enfant, un travail et elle vécue heureuse, sauf que.... franchement, vous avez déjà vu The Else World ? Vivre sans que rien ne nous arrive, ça ne se peut pas. Et, de ce fait, il était évident que quelque chose d'autre allait m'arriver. En fait, il y en a eut pas mal de truc, mais le plus marquant reste quand même....

    Ça faisait quelque temps déjà que je me sentais malade comme un chien à chaque fois que j'avais le malheur de me réveiller. Harry s'inquiétait pour moi, mais je tentais de le rassurer, sauf que. Bah oui, j'avais l'impression de savoir très bien ce qui se passait. Je devrais même ajouter cette fois-ci. En fait, je n'avais plus vraiment de doute puisque ça faisait deux mois que je ne l'avais pas été, mais je me devais quand même de vérifier. Sauf que trouver un test de grossesse dans cet endroit, qui n'était pas périmé... Il était préférable que je parte à la recherche d'Elvis Presley. J'avais peut-être plus de chance de le trouver ici que ce fichu test de grossesse. Mais j'avais dût attendre quelques mois, attendre de voir le ventre grossir pour savoir que c'était vraiment le cas. Ah, saleté de papillonnage. J’aurais dû devenir sœur. Ça m'aurait peut-être empêché de tomber enceinte pour une seconde fois. Bien sûr, on dirait que je n'aime pas mes enfants, mais ce n'est pas le cas, je dis juste qu'ils n'étaient pas désirés. Mon petit choux, lui il était content. Un petit frère ou une petite sœur. Il n'y avait rien de tel pour le rendre de bonne humeur. Sauf qu'à la place d'avoir un petit frère ou une petite sœur, il a eut le droit à un petit frère et à une petite sœur. Gabriel et Evita. Gabriel comme l'ange Gabriel et Evita... comme Evita. Je crois savoir qui est le père des jumeaux, mais je préfère ne pas lui dire et ne pas leur dire. N’empêche que ça me fait drôle. J’ai seize ans de différence avec mon premier fils et celui-ci a huit ans de différence avec son frère et sa sœur. Huit fois deux égale seize… Ce n’est pas grave.

    Et c’est tout pour mon histoire ? En fait, j’aurais sans doute bien des choses a ajouter, mais je me demande bien qui va s’intéresser à ma petite histoire quand il y a en tellement des plus intéressante que la mienne. Par contre, je me demande encore pourquoi il ne m’a pas demander qui était mon père quand je lui ait dit que je tenait mon don de lui. Je me demande aussi ce qu’il est advenu de Calvin. Est-il ici ou s’il est mort sur la terre, à moins qu’il continu de fuir encore et encore. Il ne me l’a jamais dit, mais depuis que je suis ici, j’ai eut pas mal de temps à tuer et j’ai finit par penser quelque chose. Il a réellement tué sa famille, mais de manière accidentelle. Je suis certain qu’il était un mutant. Je me demande aussi comment va mon père, s’il se demande toujours où je suis ou s’il m’a oublié. Je me pose tellement de questions, sans pouvoir y répondre. Mais, vous savez, j’ai beau être très près de mes enfants, j’ai l’impression qu’ils me cachent quelque chose, comme le fait qu’ils possèdent des pouvoirs. Je crois qu’ils ne veulent pas me le dire pour ne pas que je m’inquiète trop. Harry me connait, Harry connait ce monde et il sait que je ne pourrais pas éternellement le protéger, lui et les jumeaux.


THE END
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyMer 16 Juil - 10:23

Histoire un peu bâclé vers la fin, mais je m'en fiche. Je m'auto valide !

Bienvenue à moi !
Fiche validée !
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyLun 25 Aoû - 16:38

OUIII !!!!!!!

ENFIN !!!

Depuis que je suis sur ce forum j'éssaye de trouver un truc qui cloche dans ta fiche !!!

Et j'ai trouvée !! XDDD

( * Sens qu'elle sortira plus jusqu'à ses 24 ans. * )

Je m'explique quand même. (H)


Tout tient dans le tout début de ta fiche :

" Âge : 32 ans
Date de naissance : 25 octobre 1976 "

Seulement, comme nous sommes en 2008 ! Et que tu es née en fin d'année, tu n'as pas 32 ans mais 31 ans seulement !


( Et pour ça j'ai épluchée ta fiche trois fois. XD )


DONC !
Tu n'as plus le droit de commenter les erreurs sur les fiches des autres à partir de maintenant. XD Murphy Harkness 55263
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyMar 26 Aoû - 8:55

Mais c'est quoi ça o.O Tu brises mon pauvre petit coeur Murphy Harkness 794287

Mais j'ai l'excuse pour mon erreur. Si, si, je t'assure. mauvais calcul mathématique. Avec tous les chiffres, les variables à tenir compte, j'ai pu faire une erreur.(Autrement dit, j,ai été trop conne pour penser au moment de ma naissance). Mais pourquoi tant chercher à me faire mal, à trouver mes erreurs ? Tu veux me faire souffrir, c'est ça ? J'en met trop, ça va, je sais XD

Et si tu penses que je vais arrêter de commenter les erreurs des autres... sauf si une personne aimerait bien s'amuser à la validation de fiches avec moi, mais ça serait surprenant.

Sale petit monstre XD
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyMar 26 Aoû - 11:19

Murphy Harkness a écrit:
Et si tu penses que je vais arrêter de commenter les erreurs des autres... sauf si une personne aimerait bien s'amuser à la validation de fiches avec moi, mais ça serait surprenant.
Si tu veux de l'aide pour répertorier les fautes d'orthographe dans les fiches, n'hésite pas à me demander. x)
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyMar 26 Aoû - 15:47

Murphy Harkness 794385 Ben non je te veux pas du mal, c'était pour rire. =)
Et moi j'ai rien contre t'aider à valider les fiches ! =) Murphy Harkness 644711
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyMer 27 Aoû - 10:24

Je sais, t'en fait pas. C'était un petit délire du matin ^^

Pour ce qui est de votre proposition, vous fouiner déjà dans les fiches, alors pourquoi ne pas vous donner des droits supplémentaires ? Je vous prend alors comme Correcteurs/Validateurs ! Et non, ne commencer pas tout de suite en disant que le mot "validateur", ça n'existe pas, je sais.
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyJeu 28 Aoû - 4:56

Owiiii ! =) Razz Merciiiii maman. Murphy Harkness 794385
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyJeu 28 Aoû - 5:01

Murphy Harkness a écrit:
Pour ce qui est de votre proposition, vous fouiner déjà dans les fiches, alors pourquoi ne pas vous donner des droits supplémentaires ? Je vous prend alors comme Correcteurs/Validateurs ! Et non, ne commencer pas tout de suite en disant que le mot "validateur", ça n'existe pas, je sais.
Ouuuiii. =D *Mode non sérieux Off.*

Alors tous les nouveaux, faites vos fiches en vitesse et sans fautes ! *Regard sévère.*
*Entends une voix.*
Voix : Tu te souviens du temps que tu as mis pour faire ta fiche ?
*Tue la voix.*
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyJeu 28 Aoû - 7:55

Tu te souviens du temps que tu as mis pour faire ta fiche ? XD
*S'éloigne pour ne pas se faire tuer comme la voix*
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyJeu 28 Aoû - 8:18

*Lance une brique.* x)
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MessageSujet: Re: Murphy Harkness   Murphy Harkness EmptyJeu 28 Aoû - 10:16

T'as pas fini de flooder dans ma prédsentation ? Tu devrais suivre l'exemple que je suis...ou peut-être pas XD
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